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Coup
Le pinky dans tous ses états avec John Sonneville
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L’asticot, utilisé depuis des lustres dans toutes les pêches au coup, est une esche pratique et efficace et qui n’a que des avantages. Sorte de modèle réduit, le pinky intéresse lui aussi toutes les espèces de poissons de tous gabarits. Il n’est pas fragile pour deux sous, se conserve à merveille et se décline en une multitude de couleurs. Autant d’atouts qui ont poussé John Sonneville à affiner toutes les manières de l’utiliser.
Bien que natif du nord de la France, où fouillis et vers de vase sont rois, John Sonneville, avec qui j’ai rendez-vous ce mois-ci, ne cesse de vanter les qualités du pinky. Il est vrai que son stockage, sa conservation et son transport ne présentent aucune difficulté. Il est décliné dans une grande variété de couleurs et son prix est loin d’être exorbitant.
À tout faire
Résistant et très mobile, le pinky est un peu l’esche à tout faire. On peut l’introduire dans l’amorce, le déposer pur sur le coup, le piquer seul ou en panaché sur l’hameçon. Et peu de poissons y résistent tant il est attractif toute l’année. Ses frétillements incessants attirent et excitent les poissons mais il est parfois nécessaire de refréner ses ardeurs, notamment dans l’amorce,…