Les densités exceptionnelles en beaux poissons ne sont pas les moindres atouts des carpodromes et autres plans d’eau privés. Mais dès que l’automne revient, comme en milieu naturel, il faut déployer un réel savoir-faire pour continuer à enregistrer des touches régulières. À ce petit jeu, Thomas Mille, en bon pêcheur du Nord, a su parfaitement adapter ses approches, notamment en multipliant les coups.
Carpodromes et étangs privés offrent certes des possibilités de pêche au coup tout au long de l’année, avec la garantie de prendre du poisson quelle que soit la météo. Néanmoins, dès le début de l’automne, une baisse d’activité alimentaire coïncide souvent avec les premières baisses sensibles de température. Pour ne rien arranger, la clarté de l’eau augmente, les beaux sont moins mobiles. Il faut ruser car un coup unique ne suffit pas et Thomas Mille, notre invité ce mois-ci, l’a bien compris. « Il faut multiplier les coups pour prendre deux ou trois poissons ici, un ou deux là et ainsi de suite, indique-t-il d’entrée. Ce n’est pas facile certes, mais très valorisant et de toute façon, il n’y a pas d’autre solution !»
Pas plus de trois
Sur l’étang où il m’a donné…
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