Mis au point par les pêcheurs de black-bass américains, d’où son nom, le montage texan s’est vite révélé tout aussi efficace dans bien d’autres approches dès lors qu’il s’agit d’explorer des spots très encombrés. Et la mer, que l’on pêche du bord ou au large, n’en manque pas !
Rappelons s’il en est besoin le principe de l’hameçon texan dont la forme, la pointe affleurant sur le dos, permet au leurre de glisser dans les endroits les plus encombrés, là où un montage classique sur tête plombée accrocherait à tous les coups. Bien choisir cet hameçon est donc une étape à ne pas négliger. Il faut que le dégagement, c’est-à-dire l’espace compris entre la hampe et le ventre du leurre, soit suffisamment important pour que la pointe s’extraie à la touche pour piquer. Sans tomber dans l’excès, il vaut mieux voir un peu trop large que trop étroit.
Le bon hameçon
Sur des leurres trapus, type shad, on utilise des hameçons texans à large ouverture, dits Wide Gap, les plus polyvalents et qui occasionnent le moins de ratés. Installé sur l’hameçon, le leurre reste bien dans l’axe de l’œillet et de la pointe. Certains shads possèdent une petite rainure dorsale…
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